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Plante dépolluante

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Les meilleures plantes dépolluantes à avoir chez-soi

L’air que nous respirons peut contenir des éléments nuisibles à la santé comme :
-Trichloréthylène : composé organique utilisé dans certains solvants industriels utilisés pour le dégraissage de pièces métalliques ou le nettoyage à sec, usage interdit pour les particuliers dans l’Union européenne. Il est reconnu comme cancérigène probable.
-Méthanal : composé organique utilisé dans… beaucoup de cas de figures, mais assez peu présent dans la vie quotidienne. Il peut être la cause de différentes réactions en fonction de l’exposition de la personne, de l’allergie cutanée à l’œdème pulmonaire.
-Benzène : composé organique utilisé dans une moindre mesure pour la production de composés chimiques comme le caoutchouc, les solvants, les détergents, les additifs alimentaires ou encore les parfums. Il est reconnu comme cancérigène (entre autres).
-Xylène : pour simplifier, ça appartient à la même famille que le benzène. Il est utilisé dans les industries de cuir, de caoutchouc ou encore d’impression, ainsi que comme pesticide. Une exposition répétée ou élevée peut provoquer des maux de tête, des vertiges, des irritations de la peau, des yeux, du nez ou de la gorge, ou dans des cas plus graves des difficultés respiratoires, des pertes de mémoire et de conscience, voire la mort.
-Ammoniac : composé chimique utilisé dans la fabrication de pesticides et d’explosifs, mais aussi présent dans les cigarettes. Il est caractérisé par une odeur piquante à faible dose, mais à haute dose il peut brûler les yeux, les poumons et peut être à l’origine de diverses pathologies comme une insuffisance hépatite (dans les cas les plus graves, il peut entraîner un coma).


Pour dépolluer l’air, ces plantes se classent parmi le top de toutes les plantes dépolluantes d’intérieur :
-Le chrysanthème des fleuristes : filtre tous les éléments notés ci-dessus
-La fleur de lune : filtre tous les éléments également
-Le dragonnier de Madagascar : filtre T, M, B, X — et non, rien à voir avec Norbert Dragonneau
-La langue de belle-mère : filtre T, M, B, X — non rien à voir non plus avec une vraie belle-mère
-Le lierre grimpant : filtre T, M, B — je n’ai pas de vanne nulle pour aller avec
Attention, en revanche, toutes ces plantes sont au moins un peu toxiques pour les animaux domestiques…

Décoration intérieure : misez sur les plantes dépolluantes

D’après plusieurs études, l’air de nos foyers est bien plus pollué que l’air extérieur. Mais, au-delà de leur intérêt décoratif, certaines plantes sont aussi bénéfiques pour notre environnement intérieur. Les plantes dépolluantes participent à assainir l’air de notre logement en absorbant les agents polluants dûs aux produits ménagers, à l’humidité, aux bougies parfumées, aux poils de nos petits compagnons ou encore aux moquettes et revêtements de sols :


Le Kentia
Le kentia est un petit palmier élégant aux larges feuilles d’un vert vif. Sa croissance lente n’en fait pas moins un allié de taille contre le benzène et le toluène. Il sera idéal pour décorer votre salon ou votre salle à manger.


La fougère de Boston
La fougère de Boston possède un très joli feuillage décoratif. Elle lutte efficacement contre le xylène et le formaldéhyde, qui se trouvent, entre autres, dans les produits d’entretien et de bricolage, les bougies et l’encens, la fumée de cigarette, les revêtements de sols et de meubles. Elle se plaira dans une pièce lumineuse, à l’abri des rayons du soleil, et dans une atmosphère humide, comme une salle de bains.

Une colonne Morris dépolluante bientôt à Paris

Les colonnes Morris sont utilisées depuis la fin du XIXe siècle pour annoncer des spectacles dans les grandes villes françaises. Toutefois, celle qui sera installée à Paris a pour particularité d’être un puits de carbone destiné à absorber la pollution. Elle sera positionnée sur une place très polluée où passent près de 70.000 voitures chaque jour.
Lutter contre la pollution de l’air à l’aide de micro-algues
Un mobilier urbain expérimental sera mis en place dans le 14e arrondissement de Paris, à Alésia. Cette colonne Morris ne sera toutefois pas recouverte d’affiches de théâtre. En effet, haute de 4 mètres, elle sera remplie d’eau et de micro-algues qui permettront de lutter contre la pollution grâce à la photosynthèse, une réaction biochimique propre aux plantes.
Les micro-algues présentes dans le tube d’eau capteront la lumière en absorbant le CO2 ou dioxyde d’azote pour le transformer en dioxygène. La colonne devrait permettre de capter une quantité de CO2 équivalente à une centaine d’arbres. Ses concepteurs espèrent ainsi apporter une solution durable s’inscrivant dans une logique d’économie circulaire, à l’image d’autres initiatives telles que la récupération de l’énergie des eaux grises ou encore la production d’énergie verte grâce à la biomasse.
Des micro-algues utilisées comme gaz naturel pour la consommation courante
Grâce à ce processus, les micro-algues, lorsqu’elles seront trop nombreuses, seront évacuées par le réseau d’assainissement pour être transformées en biogaz ou biométhane, des énergies qui pourront être utilisées pour la consommation courante. Ce dispositif a été présenté en décembre 2015, lors de la COP21. Une première expérimentation est en cours depuis janvier 2017, à Colombes, dans les Hauts-de-Seine.
Si le test est concluant, à Colombes comme à Paris, la colonne Morris dépolluante pourrait être développée à grande échelle. Bertrand Camus, le directeur général de Suez France, précise au journal 20 minutes que “si cette expérimentation s’avère efficace en termes de captation, le processus pourrait être déployé sur d’autres zones à forte concentration de gaz carbonique, comme les bouches d’aération de parkings ou sur les parois des tunnels du périphérique“.

Boby la Plante : l’enseigne des plantes dépolluantes

Ils n'étaient pas entrepreneurs et n'avaient pas vraiment la main verte. Aujourd'hui leur duo promet de... dépoter, et le mot n'est pas qu'un jeu de langage un peu facile. Dans la boutique de poche qu'ils viennent d'ouvrir à deux pas du Panthéon (Ve), Smain Segai et Benjamin Marie, trentenaires aux rêves d'enfants mais à la tête sur les épaules, savent qu'ils ont eu raison de faire pousser des idées et de transformer un échec en défi.
Quatre ans ont passé depuis que les jeunes patrons de « Boby la Plante », qui se sont connus et sont « devenus potes » dans le théâtre où tous deux travaillaient, ont en même temps perdu leur job. La reconversion fut d'abord hésitante. « Je savais seulement que je voulais monter quelque chose avec mon ami, on n'avait pas encore le projet mais on savait qu'on essaierait ensemble », raconte Smain.
La bonne idée, c'est dans le jardin paternel que Benjamin l'a eue et l'a laissée germer. Ou plutôt dans la pépinière de sa belle-mère, en Bretagne. Plus que les fleurs ou les fruitiers, ce sont les plantes vertes qui ont murmuré à l'oreille de Benjamin. Son étude de marché, il l'a commencée en regardant autour de lui. « On s'est rendu compte que 90 % des gens ont des plantes chez eux. Dans le jardin, à la maison, pour la décoration ou parce qu'ils aiment s'en occuper... Alors pourquoi ne pas en faire notre spécialité ? » Leur idée : les plantes dépolluantes. Tous ces bambous, fougères, cactus et autres chlorophytum, reconnus ou réputés assainissants ou efficaces contre les effets de certains toxiques ou certaines ondes électromagnétiques. En ouvrant leur petite boutique rue du Cardinal-Lemoine, les autodidactes savourent la récompense de quatre ans de sacrifices avant de « se poser ». Il y a quatre ans, ils stockaient leurs plantes dans la chambre de Smain, apprenaient au jour le jour à fabriquer des cadres de tableaux et faisaient leur première vente dans un comité d'entreprise solidaire.« On n'était pas du sérail, mais le bouche-à-oreille nous a ouvert d'autres portes, les gens ont vu qu'on faisait de la qualité, que c'était sérieux et original », racontent-ils, rougissant presque de l'engouement qu'ils ont éveillé. Des petits marchés de la banlieue parisienne en comités d'entreprise, la clientèle s'est étoffée et « les » Boby la plante ont créé un site Web. « Mais la vente par Internet, ce n'est pas notre truc, expliquent-ils. On voulait le contact avec les clients, leur montrer ce qu'on fait. Nous, c'est devenu notre passion, on sait qu'on est dans le vrai. »

Plantes d’intérieur : quand la décoration rime avec bien être

Question tendance décoration, la nature a aussi envahi la maison. Les plantes d’intérieur donnent un brin de fraicheur à la maison et certaines espèces ne sont pas que décoratives, elles apportent des bienfaits à l’organisme aussi. Zoom sur ces plantes décoratives aux milles vertus.

L’aloé vera
L’aloé vera est une plante connue pour ses vertus cosmétiques mais ce n’est pas tout. Le gel d’aloé vera est utilisé pour soigner les coups de soleil, les brûlures et lutter contre le vieillissement des cellules. Il renforce le système immunitaire et améliore la circulation sanguine. Il est facile d’extraire le gel d’aloé vera. Il suffit de couper une grande feuille en sectionnant les côtés et les extrémités avant d’enlever doucement à l’aide d’un couteau. Le gel se présente sous forme de filet transparent.

L’eucalyptus
Arbustes à feuilles persistantes, l’eucalyptus est rien en huiles essentielles. Grâce à une odeur fraiche, il aide à mieux respirer dans la maison. C’est une plante médicinale utilisée pour les infections respiratoires. A part sa présentation très décorative, l’eucalyptus peut servir aussi d’insecticide si vous frottiez les feuilles contre la peau.

Le ficus
Le ficus est une plante décorative très prisée car il est facile à entretenir et propose une présentation élégante peu importe son emplacement. Dès fois, une seule branche dans une vase suffit pour embellir une pièce entière. Cette plante fait partie de la catégorie des plantes dépolluantes car elle a la capacité d’humidifier l’air sec de la pièce.

La menthe
La menthe parfume la maison d’un vent de fraicheur. Cette plante s’utilise aussi bien comme plante médicinale qu’ingrédient en cuisine. La menthe verte séchée ou fraiche s’ajoute aux infusions de thé et soigne les maux de ventre. Riche en antioxydants, elle lutte aussi contre le vieillissement cutané.

Le cactus ‘ Cereus peruvianus’
Le cactus, dont le ‘Cereus peruvianus’ est une plante anti ondes électromagnétiques. Installé dans la maison, le cactus fait office d’une belle décoration et il chasse également les ondes électromagnétiques nocives que les appareils high-tech diffusent. De plus, vous n’aurez pas besoin d’une plante encombrante pour repousser les ondes, un petit modèle dans un pot suffira.

Plantes d’intérieur : les 3 bons gestes pour les maintenir en forme

Ce n’est pas que les plantes sont à l’intérieur de la maison que pour autant elles nécessitent peu d’entretien. Au contraire, le manque de lumière, les poussières et l’eau d’arrosage peuvent alterner le bon développement de la plante. Afin que votre plante d’intérieur soit bien verte et en pleine forme, entretenez-les de la bonne façon. Pour y arriver, voici nos conseils :

-Pour que la racine puisse bien absorber l’eau d’arrosage, il faut griffer la croûte. Pour cela, vous avez besoin d’une griffe à main. Cet accessoire vous aidera à décompacter les premiers centimètres de substrat à la surface du pot. Mais attention, il ne faut pas gratter trop profond pour éviter d’abimer les racines. En effet, les racines de certaines plantes sont fragiles et tendres comme par exemple celles des Clivias. Si l’eau d’arrosage est calcaire et qu’à la surface, une croûte blanchâtre s’est formée, il faut le retirer d’abord. Durant cette étape, vous en profiterez aussi pour déposer un paillis minéral au pied des plantes, de préférence 2cm de petits galets. L’eau de pluie constitue aussi la meilleure eau d’arrosage pour les plantes d’intérieur.

-Les poussières qui se placent sur les feuilles de plante empêchent aussi la bonne respiration de la plante. Pour les nettoyez, il faut passer les feuilles une par une avec une éponge imbibée d’eau déminéralisée. Il est conseillé de rincer l’éponge très souvent et de nettoyer en premier les parties où c’est plus sale. Les produits lustrant sont à éviter mais vous pouvez opter pour de l’eau tiède pour nettoyer.

-Si les entre n½uds de vos tiges s’allongent, c’est le signe d’un manque de lumière. Les nouvelles feuilles formées suites aux entre n½uds sont plus petites que les autres. Ce sont surtout les plantes grimpantes comme le Cissus et le Scindapsus qui ont plus besoin de lumière. Pour l’entretien, il faut couper les tiges effilées jusqu’à un niveau où les feuilles sont normales. Il faut aussi déplacer la plante à proximité de la fenêtre pour qu’elle reçoive plus de lumière.

Les plantes vertes pour améliorer la qualité de vie au travail

En moyenne, nous passons huit heures par jour au bureau et rien de tel qu’un endroit propre, décoré et agréable à vivre pour booster la productivité. Parmi les objets décoratifs, vous pouvez ajouter une plante dépolluante qui va agir en purifiant l’air, en luttant contre le stress et les migraines, en égayant le bureau et en apportant la dernière touche de convivialité.

La variété de plante

Dans le registre des plantes vertes, vous avez le choix entre de nombreuses variétés mais optez surtout pour celles qui sont faciles à entretenir et qui n’auront pas tendance à envahir les lieux. Pour les bureaux spacieux, les grandes plantes vertes et les bouquets garnis valoriseront les coins et les caissons. Parmi les plantes vertes les plus prisées du moment, vous pouvez choisir entre :

L’aloès Véra pour ses capacités dépolluantes qui aspirent le monoxyde de carbone, le formaldéhyde, le benzène et le toluène qui figurent malheureusement dans l’air que nous respirons tous les jours.

L’anthurium sierra est efficace pour absorber l’ammoniac et les autres substances chimiques. En outre, cette plante fleurit toute l’année si elle est bien entretenue.

Les cactus pour éliminer les ondes électromagnétiques du lieu de travail.

Le ficus ginseng : ce bonzaï n’a pas trop besoin qu’on s’occupe de lui et il agit contre les composants chimiques des peintures, des colles, des vernis et des produits détergents utilisés quotidiennement dans les bureaux.

Le spathiphyllum : cette plante dépolluante aspire l’ammoniac, le dioxyde de carbone, l’acétone, le benzène, l’oxyde de carbone et le formaldéhyde présents dans l’air d’intérieur.

Pollution intérieure : les effets de la plante dépolluante

D’après les données statistiques, les hommes passent 85% de leurs temps à l’intérieur des bâtiments. Conscients des risques de la présence des Composés Organiques Volatiles (COV) dans ces espaces communs, les autorités sanitaires mettent en place des mesures essentielles pour réduire la pollution atmosphérique et améliorer la qualité de l’air dans ces endroits.

De longues recherches sur la plante dépolluantes

Depuis 1980, la NASA a effectué des expériences sur les capacités dépolluantes des plantes en pot et l’ADEME en a fait de même il y a quelques temps. Jusque là, les études n’ont fait que constater les résultats en laboratoire et n’ont jamais testé le pouvoir des plantes dans des conditions réelles. C’est ce qui a amené l’agence Inddigo à mettre en place le Phyt'Office, une étude consacrée à l’analyse de la qualité de l’air dans les bureaux et leurs premières conclusions ont été plutôt déterminantes car elles ont démontré que les plantes n’avaient aucun effet dépolluant significatif dans les bureaux.

Les déroulements de l’expérience

Entre 2010 et 2011, l’agence Inddigo a effectué une expérience dans les bureaux de Toulouse. Il s’agit de Phyt’Office qui a permis la mise en place de plusieurs espèces de plantes capables d’améliorer la qualité de l’air intérieur. Les plantes sélectionnées avaient chacune leurs propriétés et durant toute une année, les taux de concentration des polluants ont été relevés et ensuite comparés à ceux des endroits non équipés.

En guise de conclusion, les chercheurs ont constaté que quelque soit le type de plante utilisé, même ceux qui ont prouvé leur efficacité dans les tests de la Nasa, les plantes en pot ont besoin d’un système de filtration complémentaire pour résoudre les problèmes de qualité de l’air intérieur.

Qualité de l’air : les bienfaits du cyclamen

Pour prévenir les effets néfastes de l’air sec caractéristique de l’hiver, des solutions naturelles existent. Parmi elles, le cyclamen est une plante qui fleurit en abondance en hiver et elle agit comme humidificateur naturel de l’air ambiant dans toutes les pièces de la maison.

Des feuilles magiques

Le cyclamen se démarque par ses capacités d’adaptation. Ainsi, ses stomates libèrent de la vapeur d’eau lorsqu’elles détectent un petit taux d’humidité. La plante transpire au fur et à mesure que l’air s’assèche. Ce procédé permet à la maison d’avoir un taux d’humidité normal et les personnes qui y habitent n’ont plus de problème de sécheresse oculaire et cutanée, ou même des irritations des poumons.

Une décoration naturelle bénéfique

Avec les notes panachées de rouge, rose ou blanc de ses fleurs qui contrastent avec en contraste avec ses feuilles blanches et marbrées, le cyclamen d’intérieur illumine les pièces de la petite maisonnée. Malgré le froid et la morosité qui règnent en hiver, la vue de ces plantes permet de retrouver la bonne humeur.

Des endroits stratégiques

Venant de l’Asie Mineure, péninsule de l’Asie occidentale, le cyclamen se rencontre également dans les forêts et les régions montagneuses de Méditerranée, sur des sols secs et ombragés. Pour l’aider à mieux s’adapter à l’ambiance de la maison, il vaut mieux l’installer dans un emplacement lumineux qui n’est pas directement exposé au soleil. En utilisant une soucoupe, vous êtes sûr du taux d’humidité du terreau. Il suffit enfin de le préserver des températures trop fortes et le planter dans un terreau frais au printemps.

Bouzais : une fête des plantes en vue

Pour sa septième édition, la Fête des Plantes organisée par l'association des Jardins de la Loubière se tiendra les 6 et 7 octobre prochains au parc de la salle des fêtes de Bouzais.

Il s’agit d’un rendez-vous incontournable pour tous les amoureux de la faune et flore en quête de plantes, fleurs, arbres, décorations pour le jardin ou animaux de parc. Cette Fête des Plante fera également honneur à des espèces plus rares : plante carnivore et plante dépolluant.

Une meilleure sélection

Pour choisir les quarante exposants, les organisateurs ont misé sur leur spécialité. Ainsi, Evelyne Dhorbait, présidente de l'association des Jardins de la Loubière confirme que le recrutement des exposant a été « Un travail de longue haleine » puisque « Même si la plupart des exposants reviennent d'une année sur l'autre, il nous faut entretenir le relationnel, si nous voulons nous assurer leur présence et aller les voir sur les autres lieux d'exposition partout en France ».

Encore plus de nouveautés

Parmi les quinze nouveaux stands de la septième édition de la Fête des Plantes figurent entre autres un producteur de rhubarbe, un stand aromatique et épices, des objets en bois et des bijoux en graines. Le public pourra également assister à deux conférences animées par Arnaud Colombier, électroculteur, le samedi à 16 heures et le dimanche à 14 h 30.

Pour donner un aperçu de l’ambiance, Evelyne Dhorbait confirme que « Les exposants viennent de toute la France. Ils ne paient pas leur emplacement, mais chacun d'eux donne un lot pour alimenter notre tombola tournante, tirée toutes les demi-heures. Nous organisons également un stage d'art floral, le vendredi et le samedi, animé par Catherine Arto, une artiste plasticienne en art floral ».

Pollution urbaine : l’efficacité des murs végétaux

Parue dans le journal Environmental Science and Technology, une recherche britannique a permis de démontrer que les murs végétaux sont de véritables plantes dépolluantes pour les villes constituées de grands immeubles.

A part l’action les arbres, buissons et autres plantes citadines, les murs verts sont capables de réduire à 30% le taux de pollution dans les villes urbaines. En se basant sur les murs d’herbes, les plantes grimpantes et les autres végétaux du même type, les chercheurs ont prouvé que ces plantes sont 10 fois plus efficaces dans la réduction de la pollution dans les « canyons urbains » constitués de rues et de gratte-ciels en béton et en verre.

En constatant que les habitants de ces villes sont plus exposés à la pollution, les auteurs de la recherche ont misé sur des tests informatiques pour calculer les taux de pollution dans les rues canyons, les parcs, et les toits. A l’issue de l’expérience, il a été démontré que les murs verts sont plus efficaces pour lutter contre la pollution.

Parmi les auteurs de la recherche, Rob MacKenzie, professeur de l’université de Birmingham propose l’utilisation des « panneaux verts » et confirme que « Jusqu’à présent, chaque initiative pour réduire la pollution a été une approche de haut en bas, en mettant les vieilles voitures à la ferraille, en ajoutant des pots catalytiques aux voitures, et en instaurant des péages urbains – certaines de ces mesures n’ont pas eu l’effet désiré et l’avantage des murs verts est qu’ils nettoient l’air qui arrive et qui reste dans la rue canyon – en planter plus, de façon stratégique, pourrait être une méthode relativement simple de maîtriser nos problèmes locaux de pollution. »


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